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EXAMEN. Indiana Jones et le cadran du destin : sympa, mais le Botox numérique de Harrison Ford était-il vraiment nécessaire ?
Un fouet claquant, des doublures ringardes et un chapeau presque aussi important que le personnage lui-même : Indiana Jones est de retour pour sa dernière aventure cinématographique. Et quel genre. Disney nous offre l’action rapide que nous attendons du héros classique. C’est l’un de ces films qui fait dire aux gens depuis des années : « J’aurais aimé qu’ils fassent encore ça. » Mais faites attention à ce que vous souhaitez : l’impression manque de réalisme magique et un Harrison Ford (80 ans) qui n’a pas l’air réaliste du tout grâce aux effets spéciaux.